Au fils du temps et le Stationnaire Feth-i Bülend

Au fils du temps ou j’ai découvert que mon arrière-grand-père Polycarpe était un photographe les plus diversifiés du Moyen Orient je n’ai eu de cesse de découvrir des photographies de Sébah-Joaillier et aujourd’hui avec l’aimable participation de mon cousin Fabrizio CASARETTO vivant en Turquie, je vous fais découvrir des photos et éventuellement ses commentaires de la vie d’hier et d’aujourd’hui.

Ne dit on pas que souvent les photographies disparaissent et reviennent par des chemins mystérieux.

Stationnaire Feth-i-Bulend. 1890s.

Feth-i Bülend (turc ottoman : « Grande Victoire ») était un navire de guerre ottoman à toute épreuve construit à la fin des années 1860, le navire principal de sa classe. La marine ottomane l'a commandé à la British Thames Iron Works, et il a été mis sur cale en 1868, lancé en 1869 et mis en service en 1870. Il était armé de quatre canons de 229 mm (9 pouces) et propulsé par un composé à une seule vis. machine à vapeur avec une vitesse de pointe de 13 nœuds (24 km/h ; 15 mph).

Feth-i Bülend a participé à l'action pendant la guerre russo-turque de 1877-1878, où elle a combattu le bateau à vapeur russe Vesta dans un engagement non concluant. La flotte ottomane resta immobilisée pendant la majeure partie des vingt années suivantes et Feth-i Bülend ne connut aucune activité pendant cette période. Modernisé en 1890, il n'était néanmoins toujours pas en état de servir activement lors du déclenchement de la guerre gréco-turque en 1897.

Il fut donc fortement reconstruit en Allemagne entre 1903 et 1907. Au début de la première guerre balkanique en 1912, le navire était stationné à Salonique ; le navire fut désarmé afin que les canons puissent être utilisés pour renforcer les fortifications du port. Dans la nuit du 31 octobre, un torpilleur grec s'est glissé dans le port et a coulé le Feth-i Bülend, tuant sept membres de son équipage. C’est le Lieutenant Votsis qui fit sauter le Feth-I-Bulend dans le port de Salonique : [photographie de presse] / [Agence Rol].

Au fils du temps ou j’ai découvert que mon arrière-grand-père Polycarpe était un photographe les plus diversifiés du Moyen Orient je n’ai eu de cesse de découvrir des photographies de Sébah-Joaillier et aujourd’hui avec l’aimable participation de mon cousin Fabrizio CASARETTO vivant en Turquie, je vous fais découvrir des photos et éventuellement des commentaires de la vie d’hier et d’aujourd’hui.

Ne dit on pas que souvent les photographies disparaissent et reviennent par des chemins mystérieux.











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