Au fils du temps ou j’ai découvert que mon arrière-arrière-grand-père Polycarpe était un photographe les plus diversifiés de l‘empire ottoman je n’ai eu de cesse de découvrir des photographies de Sébah-Joaillier et aujourd’hui avec l’aimable autorisation de mon cousin Fabrizio, vivant en Turquie, je vous fais découvrir des photos et ses commentaires de la vie d’hier et d’aujourd’hui.
Ne dit on pas que souvent les photographies disparaissent et reviennent par des chemins mystérieux.
n° 253 Cimetière turc et Eyoub et la Corne d'Or
La Corne d’Or est ainsi nommé, non pas à cause de la beauté de ses rives qui n’ont rien de bien extraordinaire, mais à cause des richesses de toute sorte que les navires marchand y apportaient de tous les points cardinaux à l’époque la plus florissante de l’Empire Ottoman. C’est un golfe très allongé qui s’étant de la pointe du sérail à l’entrée du Bosphore et pénètre profondément dans les terres jusqu’à Eyoub en séparant les deux principaux quartiers de la capitale, Stamboul à gauche, et Péra Galata à droite. La Corne d’Or à 11 kilomètres de longueur, une largeur moyenne de 500 mètres et une profondeur dqui varie entre 2 et 45mètres.
n° 255 Cimetière turc à Scutari
Généralement les monuments funéraires des hommes sont surmontés d’un fez en pierre si la tombe est moderne, ou d’un turban si elle est ancienne, suivant la forme qu’affectent les turbans, ils indiquent la tombe d’un derviche, d’un vizir, etc… Les monuments des femmes sont ornés d’une paline de fleurs ou d’une corbeille de fruits, et ceux des jeunes filles sont surmonter d’un soleil sculpté dans la pierre. Les pierres cumulasses, sous l’action des pluies, penchent et s’inclinent et ordinairement dans tous les sens.
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